1. Je n’ai
pas de routine. Je veux dire que l’inconvénient de la liberté,
même si l’on a des «choses» à faire, est que nous
n’avons pas d’horaires contraignants.
2. Six
semaines, là-bas, où nous allions tous.
3. Je ne lis
pas de livres, je ne veux pas les salir (j’ai la hantise du gras),
je ne mange pas non plus devant mon ordinateur, je n’achète plus
de journaux, de magazines depuis belle lurette, alors je me fourre
devant BFM télé.
4. Élargi et
très modifié. Mais il est
en train de se réduire comme une peau de chagrin.
5. Tiens,
justement! La télé.
6. La
timidité, le cœur qui bat à s’en éclater, le bafouillement,
mais ce ne sont pas des rituels.
5. Quasi
jamais, non. Sauf si le produit paraît être depuis très très
longtemps dans le placard.
8. Jamais
avant cette année. Cette année deux fois, si l’on peut appeler
cela des discours: à l’enterrement de ma mère, et ma
première et dernière communication à un colloque.
9. Non, il y
en a eu trop à un certain moment. Je le regrette. J’aurais voulu
que ce soit autrement. Je me souviens en revanche de toutes celles,
des très rares, que j’aurais bien voulu et que ça n’a pas été. (Il y a des crève-cœurs, je dis trop de choses ici, mais il y a des choses que je ne dis pas. C’est trop lourd.)
10. Si ma
routine était en place, je pourrais vous dire «oui».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire