1. Non. Mais
parents étaient trop gentils. C’étaient facile de leur faire
accepter, et puis ce n’était pas des choses dangereuses ou
pendables auxquelles j’aspirais.
2. J’aimerais tellement sentir l’odeur de l’herbe mouillé le matin, j’aimerais tellement aller voir le fleuve le soir.
3. En voyage quand il n’y a pas de wifi.
4. Non, ça me barbe.
5. Le tour du monde pour le tour du monde, non. Voir certaines contrées: Ushuaia ou les Aléoutiennes, oui. Encore que, si cela fait partie des «renoncements nécessaires», je n’en pleurerai pas. Je suis foncièrement «européen», de l’Islande à la Crète, du Portugal à l’Estonie.
6. Non. Ma jeunesse aurait pu être belle si je n’avais pas été aussi timide et…
7. Non.
8. Alerte à la bombe dans une gare. Assez ridicule.
9. Finir des bricolos que j’ai commencé à écrire qui n’intéresseront personne.
10. Ce qui me tombe sous la main, jusqu’à une feuille de papier hygiénique. Mais j’aime bien glisser dans les livres des billets de musée, ou autres souvenirs minuscules que l’on retrouvera vingt ans après lorsque l’on rouvrira le volume.
2. J’aimerais tellement sentir l’odeur de l’herbe mouillé le matin, j’aimerais tellement aller voir le fleuve le soir.
3. En voyage quand il n’y a pas de wifi.
4. Non, ça me barbe.
5. Le tour du monde pour le tour du monde, non. Voir certaines contrées: Ushuaia ou les Aléoutiennes, oui. Encore que, si cela fait partie des «renoncements nécessaires», je n’en pleurerai pas. Je suis foncièrement «européen», de l’Islande à la Crète, du Portugal à l’Estonie.
6. Non. Ma jeunesse aurait pu être belle si je n’avais pas été aussi timide et…
7. Non.
8. Alerte à la bombe dans une gare. Assez ridicule.
9. Finir des bricolos que j’ai commencé à écrire qui n’intéresseront personne.
10. Ce qui me tombe sous la main, jusqu’à une feuille de papier hygiénique. Mais j’aime bien glisser dans les livres des billets de musée, ou autres souvenirs minuscules que l’on retrouvera vingt ans après lorsque l’on rouvrira le volume.
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