lundi 21 avril 2014

Mardi 21 avril 2009


Plus on lit Pouchkine, plus on lit sur lui, plus on se rend compte qu’il est le plus bel écrivain du monde qui fut jamais, et l’on se désespère puisque, à jamais ignorant de la langue russe qui, même si nous nous y mettions à marche forcée à plus de soixante ans, jamais ne deviendrait notre langue maternelle; et l’on se rend compte que jamais nous ne l’appréhenderons, et cela est une sorte de désespoir. Encore une beauté qui nous échappe. 
Markowicz dit bien le trajet Pouchkine-Brodski ; Brodski le dernier.

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