Plus on lit Pouchkine, plus on
lit sur lui, plus on se rend compte qu’il est le plus bel écrivain du monde qui
fut jamais, et l’on se désespère puisque, à jamais ignorant de la langue russe
qui, même si nous nous y mettions à marche forcée à plus de soixante ans, jamais ne deviendrait notre langue maternelle; et l’on se rend compte que jamais nous
ne l’appréhenderons, et cela est une sorte de désespoir. Encore une beauté qui nous échappe.
Markowicz dit bien le trajet Pouchkine-Brodski ;
Brodski le dernier.
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