Nous sommes attablés. Elle me parle de sa taxe foncière.
« Méfie-toi c’est lundi le dernier jour.
— Tu m’agresses là.
— ?…
— Tu es négatif.
— …
— Tu cherches à me démolir. »
Je me lève doucement, en silence, elle reste assise à sa place. Je prends mon sac. Je me penche et lui fais une bise, « Au revoir Sophie ». Je pars.
Elle claque violemment la porte derrière moi.
Ah OK.
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