dimanche 26 avril 2015

Gwen CXVIII


Les questions de la semaine.



1. Des chiens vraiment bizarres, oui, dont Sigmund, mais animaux d’espèce exotique, non.

2. La Martinique, une île.

3. Non. Un jour, à Orly, j’ai failli aller ouvrir une valise devant la police qui dressait un « cordon de sécurité ». Pusillanime j’ai laissé faire. J’ai attendu. Et j’ai vu tous les vêtements du pauvre gars qui avait oublié sa valise voler en l’air dans tous les sens.

4.

5. Non. Mais je me demande tout de même si je n’aime pas les tomates et les carottes à cause de leur couleur.

6. Oui. La première. Les doigts dans le nez. Un super-poste dans l’informatique en 1972. C’était l’avenir. (Regretté-je?)

7. J’attends mon ami Benoît Desprez pour qu’il m’offre la plante (le bac à plantes) qui fleurira définitivement mon balconnet.

8. Non. Peut-on dire boycott si l’on n’achète plus tel produit parce qu’on vous a seriné qu’il était cancérigène ? D’un point de vue politique, idéologique, boycott et blocus sont toujours contre-productifs.

9. Ceux qui portent mon patronyme n’ont jamais rien fait, ils furent toujours des petits entre les petits, je ne m’en vante ni ne m’en attriste, c’est comme ça.

10. J’ai eu autrefois un cousin qui me racontait : c’est dur de dur. D’autre part, si l’on approfondit les principes… non ?





samedi 25 avril 2015

Gwen CXVII


Nous avons rattrapé notre retard. (Ici les questions.)

 
1. Je me déteste mais je déteste encore plus celui que j’étais avant. Deux points de vue : qu’est-ce que j’ai été con et qu’est ce que j’ai fait comme conneries. Ou alors : je m’améliore doucement (optimisme).

2. Oui, les cockers, mais après 1955 (Dolly) je n’en ai plus beaucoup fréquentés. Je me souviens d’une Diane à Génissac dans les années 70. J’aime leurs oreilles.

3. Plus ou moins, mais il va falloir que je m’y mette sérieusement, officiellement, devant notaire. Il est temps. (Je n’ai pas confiance en mes héritiers.)

4. Non.

5. Quand on vit en province la destination la plus courante, la plus désirée avec impatience est Paris. Je ne savais pas avant.

6. Je perds régulièrement connaissance. Moins maintenant que je sais gérer mes malaises vagaux.

7. J’aimerais bien mais non.

8. Oui, je n’ai pas encore suffisamment aider certaines personnes. Il me faudrait encore un peu plus de sous. 

9. Nulle part je crois. Si. Assis à la terrasse d’un café, ou, si je suis seul, j’écris ou bien je regarde les passants, ou, si je ne suis pas seul, j’écoute… (Je suis là à mon meilleur.)

10. Le cimetière du film Still Life, vu hier. (Bizarre… je n’aurais pas dit… mais je ne triche pas…)




 


lundi 20 avril 2015

Gwen CXVI


Les questions de samedi en quinze…


1. Je ne me rappelle pas… une voiture peut-être, il y a longtemps ? Ou alors, autre réponse : j’ai loué l’attitude de mes enfants qui m’ont bien aidé, ont été impeccables lors de ce satané déménagement.

2. Oui. De dix à vingt ans. C’est devenu un lieu de ma mythologie personnelle. C’est «ta ville blanche» me disait Bénédicte. Et pas que pour moi puisque plusieurs de mes amis qui passaient leur été en cet endroit au même âge, ce sont installés là-bas pour leur vieux jours.

3. Oui. Hier.

4. Je n’aime pas du tout les photos dites «d’art»; et aujourd’hui, photographier en noir et blanc est, il me semble, artificiel. une posture. Je reconnais toutefois qu’au début de la photographie et tout au long du XXe siècle, il y en eut de splendides.

5. Le plus souvent possible… (voir réponse suivante).

6. … mais jamais seul. Le restaurant c’est le partage, bavardages et confidences, éclats de rire, douceur, chaleur de l’amitié.

7. Qui n’en a jamais reçu? Il faut vraiment rester calfeutré chez soi, et encore, ça passe par la fenêtre, quand, en piqué, le goéland, etc.

8. Non. Déjà qu’à pas de distance c’est bien compliqué alors…

9. Ni aimé, ni détesté, c’est curieux comme au bout du compte cela m’a peu marqué.

10. Pourquoi l’île ?


samedi 4 avril 2015

Gwen CXV


Les questions sont au même endroit, Sur l’île


1. Peut-on dissocier l’un de l’autre ? Comme disait Flaubert : «Tant qu’on ne m'aura pas, d’une phrase donnée, séparé la forme du fond, je soutiendrai que ce sont là deux mots vides de sens… »

2. Aller aux Lofoten et à Rannoch Moor (ne pas choisir entre les deux).

3. Aucun. C’est-à-dire : il y en a ou il n’y en n’a pas. Ainsi je le donne facilement quand j’en ai, mais je n’ai pas de scrupule à en demander ou à profiter des autres (des plus riches) quand je n’en ai pas. (Bon, c’est plus compliqué : aujourd’hui je suis gêné d’en avoir autant…)

4. À la fac il y avait un type dont nous ne cessâmes, Françoise, Manuela et moi, inséparables alors, de nous moquer durant toute l’année. L’année suivante Françoise et Manuela m’avaient abandonné pour suivre un autre cursus. Ce type devint mon meilleur camarade.

5. Oui. Ma première écoute de musique, avant la radio, et bien avant la musique IRL. Je crois me souvenir que c’était Savez-vous planter des choux

6. Cela ne me coûterait pas si l’on ne me faisait pas si souvent comprendre que l’on n’a pas envie de me le rendre ce service.

7. Une quinzaine de jours.

8. On va dire Olivia. Qui n’était pas de mes “amis”, qui déclara sur facebook qu’elle en avait marre des “pokes”, que j’ai immédiatement “pokée”, et qui est devenue une de mes plus chères amies IRL.

9. Je n’aime pas trop ça. enfant je préférais déjà du pâté ou du camembert.

10. Mes bagages. Je pars. Je repars.