1. Ou plutôt, l’impression de ne pas assez lutter. Suivre sa pente, mais on montant, disait Gide.
2. À écrire des petites histoires à la con, donc à rien. À rêvasser, donc à se fourvoyer. À croire, à faire confiance aux gens, donc, à perte.
3. Jamais. Jamais. Ni autre chose. Et quand telle de mes amies me dit qu’elle a volé beaucoup de bandes dessinées dans ma jeunesse, elle me déçoit terriblement. Et quand je fais le tour, rares sont ceux qui n’ont pas volé.
4. Il suffit de relire mes réponses. On le sait.
5. Pendant un ou deux ans j’ai fait de l’athlétisme. J’ai dû gagner une ou deux épreuves de sprint. Ce n’était pas trop difficile : nous étions quatre ou cinq au départ du cent mètres. Puis il y a eu le championnats d’Île-de-France. C’était autre chose. Aux éliminatoires, j’ai eu envie de crier aux types qui étaient devant : « Eh attendez-moi les gars ! » De toutes façons je voulais faire des marathons. L’entraîneur me disait « Tu es trop jeune. » J’ai arrêté.
6. Plutôt avant l’aube.
7. Ça serait tout un roman à écrire. Ou alors non : une chute de vélo dont je garde les cicatrices. Ou alors non: la lecture de Salammbô.
8. On est toujours le « politiquement correct » de celui qui ne pense pas comme vous. En fait non, puisque je n’ai pas d’opinions.
9. Non.
10. Peut-être dans le métro, ou alors à la Martinique. Ça ne m’a pas marqué plus que ça.
2. À écrire des petites histoires à la con, donc à rien. À rêvasser, donc à se fourvoyer. À croire, à faire confiance aux gens, donc, à perte.
3. Jamais. Jamais. Ni autre chose. Et quand telle de mes amies me dit qu’elle a volé beaucoup de bandes dessinées dans ma jeunesse, elle me déçoit terriblement. Et quand je fais le tour, rares sont ceux qui n’ont pas volé.
4. Il suffit de relire mes réponses. On le sait.
5. Pendant un ou deux ans j’ai fait de l’athlétisme. J’ai dû gagner une ou deux épreuves de sprint. Ce n’était pas trop difficile : nous étions quatre ou cinq au départ du cent mètres. Puis il y a eu le championnats d’Île-de-France. C’était autre chose. Aux éliminatoires, j’ai eu envie de crier aux types qui étaient devant : « Eh attendez-moi les gars ! » De toutes façons je voulais faire des marathons. L’entraîneur me disait « Tu es trop jeune. » J’ai arrêté.
6. Plutôt avant l’aube.
7. Ça serait tout un roman à écrire. Ou alors non : une chute de vélo dont je garde les cicatrices. Ou alors non: la lecture de Salammbô.
8. On est toujours le « politiquement correct » de celui qui ne pense pas comme vous. En fait non, puisque je n’ai pas d’opinions.
9. Non.
10. Peut-être dans le métro, ou alors à la Martinique. Ça ne m’a pas marqué plus que ça.
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