Je
prends donc seul un tram qui me mène vers les grands cimetières où
je suis censé me recueillir sur la tombe de Kafka.
Je
rentre dans le cimetière chrétien où un vieux m’entretient. Je
lui dis «ia ne ponimaiou», aussi il me croit russe et
me montre des tombes de généraux russes.
Comme il finit par comprendre que «ia fransouski», il veut me montrer des tombes de soldats français.
Enfin je réussis à me faire comprendre, il me dit que la tombe de Kafka, «jüden», est derrière le mur.
Nous sommes vendredi après-midi et, pourquoi? le cimetière juif est fermé.
Je retourne en ville, arrêt derrière le musée national, traversée de toute la place Venceslas, sans voir ou en voyant sans savoir qu’il s’agissait d’elle, la croix en honneur à Jan Palach.
Ce que nous avons pu être marqué par Jan Palach. Son immolation était absurde, idiote, mais tellement romantique. Maintenant il a sa place (anciennement place de l’armée rouge), son monument, il reste surtout dans nos cœurs, mais enfin… on n’a pas idée de se tuer à vingt ans, de cette façon…
Comme il finit par comprendre que «ia fransouski», il veut me montrer des tombes de soldats français.
Enfin je réussis à me faire comprendre, il me dit que la tombe de Kafka, «jüden», est derrière le mur.
Nous sommes vendredi après-midi et, pourquoi? le cimetière juif est fermé.
Je retourne en ville, arrêt derrière le musée national, traversée de toute la place Venceslas, sans voir ou en voyant sans savoir qu’il s’agissait d’elle, la croix en honneur à Jan Palach.
Ce que nous avons pu être marqué par Jan Palach. Son immolation était absurde, idiote, mais tellement romantique. Maintenant il a sa place (anciennement place de l’armée rouge), son monument, il reste surtout dans nos cœurs, mais enfin… on n’a pas idée de se tuer à vingt ans, de cette façon…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire