[…]
Autre rêve, guère érotique celui-là:
je suis dans le lit qui ressemble à un lit de camp du salon, où je dors quand
je cède mon lit à mes invités. Une Japonaise revêtue d’un
ciré bleu, coiffée d’un casque de moto, bardée de nombreux appareils photo en
bandoulière, ouvre les draps et me dit: «Allez, pousse-toi.»
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire