vendredi 22 février 2013

Encore des bêtes, des baisers et autres liens


Je ne fais pas de fixation particulière sur un animal, narval ou autre chien, mais j'aime particulièrement les marmottes.

Un événement qui donne de l’espoir: certains Tunisiens, en dépit de leurs multiples préoccupations, trouvent encore le temps de se pencher sur l’œuvre de Giono.

Les Chinois aussi, sont formidables: James Joyce best-seller.

Pendant ce temps-là, en France, à Abbeville, c'est une autre paire de manche.

Et si vous n'aimez pas qu’on vous lèche la pomme… Xoxo



«C'est la joie de Pâques! On s’embrasse, on s’enlace. Le baiser de paix donne lieu à un grand remue-ménage pendant lequel chacun met un point d’honneur à serrer dans ses bras la moitié de l’assistance. Beaucoup de bruit, beaucoup de joie. Ici, Pâques a un surnom: le “carnaval de l’Alléluia”!»  
En Amazonie, in Charles Guilhamon, Sur les traces des chrétiens oubliés






Vu Mariage à l’italienne, Le Pigeon (très drôle, j'ai attendu quarante ans avant d’accepter de le voir à cause de son titre (I soliti ignoti en italien)), Le Marchand de Venise (de Michael Radford), deux fois Le Marchand de Venise de la BBC (j’ai du mal avec l’anglais), deux fois La Cenerentolaénergisant absolu»), lu le Cours de philosophie en six heures et quart.




4 commentaires:

  1. Pourtant c'est sympa les narvals. Si si. ;-)

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  2. Je n'ai rien contre les narvals. À chacun ses manies, ses dadas, ses passions, ses amours. Dans une autre vie j'aurais volontiers passé mes jours à observer les marmottes avec des jumelles, couché dans une prairie en fleurs du Queyras.

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  3. Tu vois qu'il faut que tu tiennes un blog de veille sur Giono.

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