Les dernières questions de la rue Linière.
1. Non, banal.
2. Je n’ai pas besoin
de veilleuse, je peux tout aussi bien dormir au jour que dans le noir
complet.
3. Oui. Ça passe assez
vite. Plutôt chez moi, c’est l’expression «en avoir gros
sur la patate». J’accuse le coup. J’encaisse. Certains
disent que je suis boudeur.
4. Oui, je déteste le
café bu dans des tasses en cette sorte de plastique (polyester)
qu’on vous présente parfois sur les aires d’autoroute ou dans
certains distributeurs.
5. Je crois que vous avez
déjà posé cette question. Trois ans.
6. Rarement,
heureusement, car sinon ce ne serait pas une rencontre marquante.
Combien dans une vie? Une dizaine ou moins? C’est déjà
beaucoup. Je vais dire trois.
7. Pour les rares choses
qui m’importent vraiment: oui, je suis catégorique.
Exemple: la littérature. Pour le reste, je peux changer d’idée
comme de chemise et me laisser influencer par n’importe qui.
Exemple: la politique.
8. Oui. je m’excuse
tout le temps. On ne me présente jamais d’excuses.
9. Ni l’un ni l’autre.
Au milieu de la nuit quand ce n’est plus possible de dormir
entortillé dans des draps qui font des nœuds.
10. Oui, des cartes
postales, ou dans mon carnet noir quand je n’ai pas mon ordinateur
à portée.
11. Non. Mais pourquoi
pas. Jésus a bien fréquenté un percepteur.
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