Arrivée à Rodez, Faustin vient seul,
en catimini, ça va mal avec sa rombière, ou plus exactement, c’est
comme d’habitude, je ne reviendrai pas sur cette tragi-comédie,
rien de nouveau depuis Noël. Nous nous retrouvons en
cachette sur le parking du macdo où nous prenons un verre. Bavardage. Ça va mal. Il repart assez vite, comme un mari qui ne veut pas
être surpris en faute ou qui a peur du rouleau à pâtisserie. Il
rappellera. Ou il ne rappellera pas.
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