Faustin et moi, nous pensons qu’il est bien de rencontrer, de voir le
plus possible les gens que nous apprécions, que nous aimons, que
nous désirons voir, sur cette planète pendant que nous y résidons,
et que nous savons que nos complexisations psychologiques («nœuds
au cerveau», «caca nerveux», dit Charlotte) ne
sont que des leurres qui nous empêchent de vivre, et que l’une des
premières règles est de ne pas en tenir compte, de faire comme si
elles n’existaient pas (et le miracle est que lorsque l’on fait
comme si elles n’existaient pas, elles n’existent plus, elles
n’ont jamais existé).
On a autre chose à
faire.
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