Royan, ville rêvée,
notre ville blanche. Après avoir quitté le FGH, fermé du 30
novembre au 15 mars, par la rue du Parc, charmante par ses
sinuosités, l’église dont ils se décident à faire le ravalement
(il était temps; toutes les constructions rongées par l’air
salé doivent être constamment entretenues), les rues à rêver, des
écureuils, des frégates, des cormorans, des ondines et des
amazones, et de nouveau, à nouveau, encore encore, la villa Sans-Souci, celles où n’eûmes jamais
aucun souci, celles où, pour ma mère et moi, se passèrent nos
meilleurs mois de nos meilleures vies de ces années où nous étions jeunes
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