J’ai retrouvé dans Guibert l’idée que j’avais eu de
roman à contrainte folle: un roman où il y aurait la totalité des
mots de la langue française. Précisons: les mots de mon “corpus” (le vocabulaire que je suis en train de faire pour ***), environ
trente mille, chacun utilisé une seule fois (noms, verbes, adverbes, adjectifs), en ne se servant plusieurs fois que des “petits mots” et des verbes être et avoir — je suppose que c’est difficile de procéder autrement. Déjà là que.
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