Hier, le printemps. Dimanche en huit, en
une journée les prunus de l’avenue se sont couverts de leurs fleurs qui ont
émergé au fil des heures quasiment à vue d’œil, c’était comme une lente symphonie
qui montait pour remplir tout l’air et l’espace. Ce matin après une semaine de
pluie, elles ne sont plus que pourritures brunes. La pluie, la pluie,
inondations, même de la Seine à Chatou, on va atteindre les niveaux de début
janvier 2000.
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