J’ai donné à Jo mon Mallarmé, l’édition
Gall. lue à 17 ans, lue et relue, et apprise par cœur au service militaire.
J’en ai d’autres mais celle-ci est une icône.
Boris Terk, Michèle Firk est restée au
Guatemala. J’aurais été un excellent éditeur. Il y a
plus de dix ans que j’ai pensé qu’il fallait faire une biographie de cette
héroïne ; mais pas comme ça : cf. page 117, « on recueille trop
peu de faits précis, ou trop personnels pour être dits », ce sont ces
faits-là qui eurent été intéressants. Plus tard, quand on se sentira autorisé à
les dire, il n’y aura plus personne pour les rapporter… Page 107, Michèle Firk
et sa famille à La Turballe en 1940-41.
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