Évelyne et ma grand-mère viennent déjeuner. Par hasard Claude passe par là et ma grand-mère semble toute contente de découvrir le mari de cette petite-fille qu’elle n’a pas vue depuis vingt ans.
Claude et mon frère m’accompagnent à Ch. Moi sous la douche, Claude étendu sur le fauteuil, mon frère joue Liszt sur le piano complètement désaccordé.
Claude m’a accompagné à Paris. J'avais mon duvet sous le bras.
À Jussieu j’ai retrouvé Gérard et Alain. François arrive avec trois-quart d’heures de retard. Le temps de se perdre et nous sommes arrivés à la MJC de Brévannes alors que celle-ci était en pleine décomposition. Marie avait préparé deux boîtes de raviolis pour quinze. J’ai joué intensément au baby-foot, à m’en écorcher les doigts. Au café du coin où nous rejoignent Michelle, Philippe (garçon timide) et Évelyne (une fille qui drague un champion de judo). Puis on a traîné à Épinay-sous-Sénart où il y avait de la danse. Une heure d’attente à la porte pendant que Michelle et Philippe allaient voir si c’était mieux à Combs-la-Ville. Pierre et François qui font sérieux ont marchandé le prix des places de quinze francs à huit francs (et j’ai rabioté encore trois francs). À part […] les autres danses ne m’intéressent pas. Surprise : Gérard danse tout seul au milieu de la piste ; pendant ce temps, nous finissons d’un trait les verres de champagne à moitié vide que nos voisins de table avaient laissés en partant. Je disais de plus en plus n’importe quoi. Cela s’est terminé à trois heures. Ensuite visite de l'aéroport d’Orly, vide sauf de flics, qui nous virent. Beaucoup rentrent dormir à Paris chez François. Yves, Geneviève, Marie et moi à Brévannes avec Michelle, Marie, Alain. On mange du camembert avant de s’endormir vers six heures.
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