vendredi 27 décembre 2013

Mercredi 27 décembre 2000


Hier, Paris : vitrine des grands magasins. les enfants sont peu intéressés, ils sont désormais trop grands – la dernière fois probablement, triste. Macdo: ils ne sont pas encore trop grands mais ils commencent à critiquer – le coca à l’eau, etc. – C'est bon signe. Cinéma, avec d’abord un quiproquo (c’est de ma faute à toujours tergiverser) car mon fils voulait voir une couennerie américaine, j’étais prêt à céder, quand je me suis aperçu que ma fille n’y tenait pas. La séance commençait nous n’avions qu’une seconde pour nous décider. 

Décision fut prise : nous n’irions pas au cinéma. Quand, en passant devant une autre salle, on découvre un film qui commence dans une seconde, un film qui est susceptible de convenir à chacun. J’espère qu’ils n’ont pas été déçus (guère d’échos) par Billy Elliott, l’histoire du petit garçon, fils de mineur en grève dont le père veut faire, tradition familiale, un boxeur, et qui préfère la danse. 

Journée de bruine grise. La neige annoncée ne vient pas. Fin de soirée: mon fils et moi regardons Heaven can wait pendant que les deux filles rient comme des baleines devant l’ordi. Rien qui me réchauffe davantage le cœur que de les entendre rire ainsi. Puis il va au lit avec Harry Potter. Je vais marcher seul sous la pluie dans la nuit.


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