Hier soir In the Mood for Love avec Inês, un peu moins séduit, des réserves, et en même temps je
m’aperçois que ce film est bien plus complexe qu’au premier abord, bien plus
riche, qu’il faut le revoir beaucoup de fois pour capter et garder en mémoire
toutes les nuances qu’il recèle. Mérigeau dans le Nouvel Observateur dit que
c’est un des quatre ou cinq films d’une vie d’homme. Peut-être…
Maman m’appelle ce matin, elle clôt
par : « Je vais à mon dessin. » Je comprends : « Je
vais à mon destin. »
Nella est impayable : « Alors,
qu’as-tu fait ce week-end, tu as fait des folies avec ton corps ? »
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