À Cuba, l’ouragan qui s’appelle Michelle
est très violent : si on me l’avait demandé, cela aussi je le
savais ! (J’en connais un bout sur les Michèle et sur les Michelle.) Mais,
ce qu’un regard signifie, ça je ne peux, je n’y comprends rien.
Hier, après dissipation des brumes matinales,
beau temps froid, nous passons quelques heures dans le parc des Impressionnistes
à lire et dormir, et rêvasser, C un petit roman d’adolescente, J Bel-Ami, deux lectures de classe. Moi aussi, lecture obligée.
Parce que la totalité de mes désirs, comme
ils sont de plus en plus contradictoires, ne sera jamais satisfaite en même
temps, et que s’ils sont tous réalisés, l’un après l’autre, je ne serai pas
complètement heureux pendant que je vivrai ces réalisations, puisque alors, il
y aura les autres désirs, qui ne seront pas à ces moments-là réalisés. Et ceci
définitivement jusqu’à la fin de ma vie. Et si l’un me comblait tant que
j’oublie les autres, il me resterait d’autres souffrances.
Ce soir je suis allé voir un film intitulé Pourquoi
j’ai tué mon père.
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