Je suis arrivé à
Génissac. Après les merveilles du Périgord, en automne, juste avant Limoges sur
la route venant d’Argenton, et après la ville jusqu’à Saint-Aix, le long du
cours de la Vienne. Et puis quelle splendeur avant Périgueux, châteaux,
bâtisses rouge brique ou blanc-jaune surgissant des virages de la route,
châteaux de rêve cachant de nombreux possibles qu’on imagine à loisir. Et la
vallée de l’Isle de Mussidan à Périgueux, les couleurs rouille, le bleuâtre
flou de l’horizon, la clarté du jour de soleil avec ciel bleu pur qui baisse,
chaude lumière ! Génissac.
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