Il y a une âme qui volète, qui se cogne à
la vitre, qui cherche à nous échapper, qui veut s’enfuir, où est la sortie de
ce monde? et nous la retenons par les pieds, ou bien l’on saisit sa tête
entre nos mains tremblantes, maladroites: «reste encore un peu avec nous,
regarde-moi, regarde-moi encore une fois, fais-moi un signe». On tient sa
main.
Mais ce n’est pas raisonnable.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire